• La mise en avant du chiffrement offre un dernier avantage de choix au récit policier. Elle sert d’alibi pour expliquer l’absence de preuves quant à l’existence d’un soi-disant projet terroriste. Le récit policier devient alors : ces preuves existent, mais elles ne peuvent pas être déchiffrées.

    Ok d’accord, sûrement un manque de pédagogie. Plus sérieusement c’est fou comme article, le manque de connaissances dans le domaine nuit à tous, suspects comme enquêteurs (mais seul un groupe subit vraiment finalement, l’autre fait un mauvais travail).

  • « Il avait convaincu sa mère d’utiliser des modes de communication non interceptables comme l’application Signal. »

    C’est clairement un dangereux terroriste d’ultra gauche !

    C’est vraiment flippant comme histoire.