Cette décision, qualifiée de « victoire » par les avocats de Gisèle Pelicot, a été annoncée par le président de la cour, Roger Arata, après un débat de près de deux heures en début d’audience vendredi.
Même s’il y aura « des moments extrêmement difficiles », Gisèle P. « estime qu’elle n’a pas à se cacher », qu’elle « n’a pas à avoir honte » : « il faut que la honte change de camp », a réagi auprès notamment de l’AFP Me Stéphane Babonneau, un des deux avocats de l’épouse
https://www.ouest-france.fr/societe/justice/que-la-honte-change-de-camp-au-proces-des-viols-de-mazan-la-victime-soppose-au-huis-clos-9c3b8bbe-6960-11ef-9827-8f066c8ca511