Si je lis à voix haute pour d’autres: “étudiantes et étudiants”.
Mais c’est un trait de personnalité de lire “en audio” dans sa tête les textes? Perso je le faisait pendant l’apprentissage de la lecture, mais on va beaucoup plus lentement comme ça.
Un autre proposition, que personnellement je trouve plus élégante, plus prononçable, plus juste, mais qui a moins de support aujourd’hui, c’est de remplacer les terminaisons genrées par “-aire”. Ça marche particulièrement bien pour les mots en -eur: conducteur/conductrice = conductaire.
Étudiant/étudiante ça fait étudiantaire, un peu plus moche, mais au moins très facilement prononçable.
Au sujet de la “petite voix” quand tu lis : apparemment c’est normal, et plutôt utile.
G Milgram en parle dans cette vidéo sur les pseudo-champions de “lecture rapide” qui vendent des formations.
Entre autres conseils, ils disent que pour lire plus vite il faut s’entraîner à supprimer la voix intérieure. Sauf que quand on va voir les vrais chercheurs, le consensus général c’est que ça aide beaucoup à comprendre et mémoriser les informations du texte.
“étudiant·e·s”
Dans ma tête: étudian teuh
Si je lis à voix haute pour d’autres: “étudiantes et étudiants”.
Mais c’est un trait de personnalité de lire “en audio” dans sa tête les textes? Perso je le faisait pendant l’apprentissage de la lecture, mais on va beaucoup plus lentement comme ça.
Un autre proposition, que personnellement je trouve plus élégante, plus prononçable, plus juste, mais qui a moins de support aujourd’hui, c’est de remplacer les terminaisons genrées par “-aire”. Ça marche particulièrement bien pour les mots en -eur: conducteur/conductrice = conductaire.
Étudiant/étudiante ça fait étudiantaire, un peu plus moche, mais au moins très facilement prononçable.
Au sujet de la “petite voix” quand tu lis : apparemment c’est normal, et plutôt utile.
G Milgram en parle dans cette vidéo sur les pseudo-champions de “lecture rapide” qui vendent des formations.
Entre autres conseils, ils disent que pour lire plus vite il faut s’entraîner à supprimer la voix intérieure. Sauf que quand on va voir les vrais chercheurs, le consensus général c’est que ça aide beaucoup à comprendre et mémoriser les informations du texte.